L’implant de contraception définitive (retiré de la vente en 2017) présenté comme une alternative à la technique de ligature des trompes par cœlioscopie a laissé des séquelles à quelques milliers de patientes dont le quotidien se trouve désormais marqué par des effets indésirables invalidants : troubles du système nerveux, cardiovasculaires, endocriniens, musculo-squelettiques… Cet implant a été .
Ana-maria Trunfio-Sfarghiu chargée de recherche CNRS au Laboratoire LaMCoS, spécialiste en bioingénierie étudie cette problématique depuis 2 ans avec ses partenaires société Minapath, le laboratoire IRCELyon2, le laboratoire de géologie3 et de l’hôpital privé Natecia et soupçonnait l’origine aujourd’hui confirmée : en cause, l’étain utilisé pour la soudure intoxiquerait les organismes des patientes. Après un an d’expertises cliniques, un article paru4 dans la revue Journal of Trace Elements in Medicine in Biology, vient confirmer l’hypothèse.
4 M. Catinon, E. Roux, A. Auroux, A.M. Trunfio-Sfarghiu, C. Lauro-Colleaux, E. Watkin, G. Sournies, M. Vincent, “Confirmation of the systematic presence of tin particles in fallopian tubes or uterine horns of Essure implant explanted patients: A study of 18 cases with the same pathological process” (2022).
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